
lundi 24 janvier 2011
A vos neurones !

Hommage à Marcel Marlier

Quoi de plus amusant que d’improviser une mise en scène dans le grenier quand celui-ci est tout à fait aménageable en salle de spectacle, quand les coffres regorgent de costumes de prince charmant et de chapeaux de princesse !
Date de parution : 01/01/1959
Auteurs : Gilbert Delahaye, Marcel Marlier
Collection : Albums Martine

Le jardin de grand-père est un vrai paradis ! Fruits, fleurs, légumes, oiseaux et papillons y cohabitent pour le plus grand plaisir de tous. Quand elle est en vacances, Martine prend possession des lieux. Mais quels sont tous ces trous qui transforment le sol en véritable gruyère ? Venus en grand nombre des bois environnants, les lapins dévastent tout. Que faire ? C'est un furet, cadeau du fermier voisin, qui va les mettre en fuite. Il ne leur fera aucun mal. Séduits par cet animal bien connu des rondes enfantines, Martine et Patapouf vont l'apprivoiser ...

Martine s’est endormie sur son livre de contes. Elle rencontre Pierrot, l’enfant oiseau. Ensemble, ils vont entreprendre une quête peuplée de personnages fabuleux, à la recherche des sept plumes magiques. Un plongeon dans l’univers du rêve et du merveilleux.
Date de parution : 24/10/2000

Martine, Jean et leurs parents viennent planter la tente près du village de Fleury-la-Rivière. Réveil au chant du coq, toilette au bord de la rivière, approvisionnement à la ferme et pique-nique en plein air. Un décor bucolique pour une vie champêtre à souhait.
Date de parution : 01/01/1960
Date de parution : 04/02/2009

Martine fait un rêve. La voici tour à tour danseuse, acrobate écuyère et dresseur de lions.
Date de parution : 01/01/1956
Date de parution : 22/09/2006

Le parc où joue Martine est vraiment merveilleux. C'est là qu'elle promène sa poupée. C'est là qu'elle retrouve ses amis quand ils jouent au bord de la pièce d'eau. Un petit tour en balançoires, un petit tour a dos d'âne et un spectacle de guignol... de quoi s'amuser tout l'après-midi !
Date de parution : 01/01/1967

Cette toute première version de Martine à l'école a déjà fait l'objet d'un fac-similé.Le voici réédité, sous le titre "Vive la rentrée", au même format que les autres albums de manière à permettre aux lecteurs de posséder la série complète.Avec Martine, en route pour de délicieux moments de rêve et de détente... de ceux qui laissent la nostalgie de l'enfance.
Date de parution : 15/03/1957

Quelle journée merveilleuse ! Autour de Martine, chacun va faire en sorte de rendre l'événement inoubliable. Depuis les invitations jusqu'aux gâteaux et au feu d'artifice, rien ne manquera à la fête.
Date de parution : 15/03/1969
Et voilà Merveilleux souvenir de petite fille
dimanche 23 janvier 2011
samedi 22 janvier 2011
Le Dernier de la classe

vendredi 21 janvier 2011
Mots d'enfants qui font naître un sourire


jeudi 20 janvier 2011
Hommage à Laurel et Hardy










Laurel et Hardy formèrent un couple comique du XXe siècle, un duo du cinéma américain de l'Entre-deux-guerres, réunissant Stan Laurel et Oliver Hardy et basé sur un rapport de force et de protection, souvent dans des bagarres ritualisées et polies (pas de critique sociale). Ils ont joué dans de nombreux films burlesques muets et parlants
Dans la vie, Stan Laurel est l’inverse de son personnage à l’écran, dans le duo, c’est lui le cerveau.
Leur première rencontre à l'écran a lieu fin 1920, début 1921 dans The Lucky Dog, ils partagèrent ensuite l'affiche dans des films produits par Hal Roach durant les années 1920. Le duo se forma officiellement à l'occasion du film The Second Hundred Years en 1927.
Au fil des films, les rôles des deux personnages s'imposent. Hardy, de par sa corpulence, sera le chef de l'association, le Maître, l'incarnation du Père et dirigeant toujours les opérations. Il sera aussi l'éternelle victime des maladresses de son co-équipier. Laurel, qui apparaissait comme un être dominateur, conquérant, séducteur et irrésistible dans les films sans Hardy, va acquérir une place de grand enfant, de naïf ébahi, de curieux et de chétif.
En 1940, les deux comédiens tentent de fonder leur propre maison de production, sans succès. Ils signent alors un contrat d'exclusivité avec la 20th Century-Fox et la MGM pour huit films à tourner dans les cinq années à venir. En 1947 ils entament une carrière au music hall.
La plupart des films tournés avant 1940 ont été produits par Hal Roach et realisés par Leo McCarey
Dans les versions en langue française nos héros étaient doublés par des acteurs francophones s'exprimant avec un accent anglo-américain : « Dans Men O'War, de Lewis Foster, en 1929, le cinéma d'Hollywood parle maintenant des États-Unis d'Amérique, et les versions doublées expédient aux quatre coins du monde deux de ses héros les plus ahurissants : Stan Laurel et Oliver Hardy. Voyons la version doublée pour le public français de ce film américain dont l'action ne se passe pas en France : pourquoi donc dans cette version française, Laurel et Hardy se parlent-ils en français avec un accent nasillard amplifié par le ton haut de Hardy, transposé par les acteurs de doublage qui leur furent attribués : Fernand Rauzena et Richard Œstermann (et, à partir de 1935, Frank O'Neill et George Matthews) ? Pour nous, public francophone, cet accent américain fait partie du caractère des deux compères, de leur charme, de leur drôlerie… » [1]
L'explication de cet accent date en fait de l'avènement du parlant : la postsynchronisation n'étant pas encore au point, la nécessité de tourner plusieurs versions d'un même film s'imposait pour l'exportation. Souvent, des acteurs de langues étrangères en remplaçaient les vedettes, ce qui ne fut guère possible pour notre duo. Aussi exécutèrent-ils eux-mêmes des versions françaises et allemandes de leurs premiers talkies (parlants) avec des accents très forts parce qu'ils ignoraient les langues. En France, le succès de cet accent fut tel qu'il n'était plus concevable dorénavant de les doubler autrement.
Les deux héros se retrouvèrent complètement fauchés à la fin de leur aventure. En effet, ils ont signé un contrat quasi identique des plus désavantageux : ils ne touchaient pas un dollar pour toutes les rediffusions télé qui auraient lieu par la suite. Leur salaire respectif n'a jamais atteint la hauteur de leur talent...
Hommage aux compagnons de la chanson

Interprètes de vieilles mélodies françaises empruntées au folklore (Perrine était servante), c'est en 1944, alors qu'ils sont encore sous la tutelle de Louis Liébard, chez les Compagnons de la musique, qu'ils connaissent un premier succès et qu'ils rencontrent Édith Piaf à l'occasion d'un gala à Paris.
En 1946, ils enregistrent avec Piaf la chanson Les trois cloches du compositeur suisse Jean Villard, plus connu sous le pseudonyme Gilles, qui deviendra un succès international et les révèlera au grand public grâce à un arrangement réussi par Marc Herrand. Encouragés et soutenus par Édith Piaf, Les Compagnons de la chanson adoptent un répertoire plus jeune et partiront en tournée aux États-Unis. À leur retour en France, ils rencontrent un succès prodigieux qui va leur permettre de parcourir le monde. Les succès s'enchaîneront durant les années 1950, 1960 et 1970.
mardi 18 janvier 2011
Hommage à mes parents

Il est toute mon admiration
Et je l'aime autant que je le peux
Je ne lui ai pas prêté toujours toute mon attention
Et je regrette de ne l'avoir pas toujours rendu heureux
Mais il y a des choses dans la vie
Que trop souvent l'on oublie
L'amour de ses parents
La difficulté d'élever un enfant
Je voudrais pouvoir aujoud'hui
L'embrasser très fort et lui dire
Je t'aime merci de m'avoir donné la vie
Et je voudrais t'adresser mon plus beau sourire
Papa ! Oh Papa ! parfois cela doit être dur
d'être un père, un bon père
De vouloir faire de sa fille un être pur
et de lui protéger sa mère ..
Ces quelques vers ils sont pour toi
Toi que je n'embrasserai jamais assez
Toi à qui je dois tout, même mon émoi
Je voudrais revenir en arrière, mais on efface pas le passé
Pour toutes les inquiétudes que je t'ai données, Pardon
Pour tous les soucis que je t'ai apportés, Pardon
Pour toute mon éducation, Merci
Pour avoir été Mon père, Merci
Durant ces quelques années passées à tes côtés
Mon coeur d'enfant n'a pas su apprécier
Mais maintenant je comprends, vous êtes ma joie
Mon père c'est le plus brave des hommes
avec ses défauts, ses qualités, il est en somme
Comme nous tous, une image crée par Dieu
S'il n'est pas le meilleur, il est le plus courageux
Papa, Maman c'est avec Amour
que je suis fière de vous raconter
Le bonheur d'être votre enfant
Le délice de vous avoir à mes côtés
Je vous aime plus que tout au monde
Vous êtes sur cette terre ronde
Deux êtres charmants
Qui après avoir été des amants
Ont engendré des enfants
Qui ont grandi évidemmment
Avec en eux l'Amour de leurs parents
A mes parents disparus aujourd'hui depuis trop longtemps....
lundi 17 janvier 2011
samedi 15 janvier 2011
Commissaire Moulin !!!


c'est le commissaire Moulin !
interessant et détendant !
n'oubliez pas vos lendemain !
c'est lui le Commissaire Moulin !
Peut-être qu'il ne sait pas vraiment se servir d'une arme
Mais pourquoi pas ! c'est ça le délice d'une âme !
alors n'hésitez pas à vous replonger dans le passé !
et de visionnez l'avenir ! Pour mieux replonger !!
Clin d'oeil ........
Prendre un enfant par la main

Quoi de plus émouvant
Que le regard d'un enfant
On peut-y lire des tas de choses
On peut-y faire une pose
On y trouve la joie , la confiance
Mais aussi parfois , la méfiance
On y trouve un morceau de bonheur
Qui fait battre notre cœur
Les mots ne sont plus nécessaires
Le regard d'un enfant sur notre terre
C'est l'abondance d'un amour donné par sa mère
C'est le sentir de la protection de son père
C'est surtout l'innocence d'un moment unique
C'est aussi les larmes qui piquent
Pour exprimer sa nouvelle vie
Un enfant c'est de son regard qu'il dit merci......
vendredi 14 janvier 2011
Notre Ami Jean Richard

jeudi 13 janvier 2011
31 ans de Mariage

Au commencement il a été dit
Aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimé
Puis à nous de faire face à la vie
Pour connaître le secret de la longévité
Savoir conjuguer le verbe aimer
N'est pas toujours une facilité
Ce peut-être aussi une grosse complication
à laquelle nous devrions faire très attention !
le temps présent "je t'aime" est envoûtant
le temps futur "je t'aimerais" est inquiétant
le temps passé "je t'aimais" est déroutant
Ne pas le dire mais le penser peut-être reposant !
la patience et le pardon peuvent apporter un soulagement
la rancune et le doute ne provoquent que découragement
alors il ne faut pas hésiter parfois à méditer
et éviter de se laisser emporter !
Un autre a dit aussi : patience et longueur de temps valent mieux que force ni que rage
c'est une vérité pour le couple ! il faut laisser passer l'orage et pousser les nuages !
alors accrochez vous ! faites seulement selon votre coeur
pensez à cet engagement que vous avez signé loin de la peur
pensez aussi que nul n'est parfait
et sur la rancoeur faite un trait
afin de consolider ce fil si fragile
d'un amour pas si facile .....
mercredi 12 janvier 2011
lundi 10 janvier 2011
Pour le sourire !

